Comment réagir lorsque mon bébé m’énerve
Comment ne pas s’énerver lorsque mon bébé m'énerve ? Comment réagir et ne pas imposer sa volonté ? Cet article vous indique la solution. Cliquez ici.
Lire la suiteC’est une grande question que beaucoup de parents se posent. Quel rôle et quelle place souhaitons-nous donner aux grands-parents de nos enfants ?
Car au final, c’est nous, parents, qui décidons jusqu’à quel point les grands-parents vont s’impliquer dans la relation avec leurs petits enfants.
Ce serait tellement plus simple si les grands-parents étaient « une extension » de nos choix et de notre vision des choses . On pourrait leur confier nos enfants sans se poser de questions, on pourrait discuter, échanger nos expériences, nos ressentis, apprécier ensemble les progrès des enfants… On pourrait même trouver de l’aide, des conseils ou du soutien auprès d’eux.
Mais ce n’est pas comme ça que ça se passe.
Alors faut-il leur parler de nos choix éducatifs ou non ?
Comment aborder le sujet ?
Comment expliquer de façon claire et convaincante ?
Comment ne pas braquer nos parents et laisser la possibilité d’un vrai dialogue constructif ?
Autant de questions que l’on se pose lorsque l’on choisi un mode éducatif « alternatif » (dans le sens autre qu’une éducation classique).
Malheureusement, il est très difficile de répondre à ces questions car chaque famille est unique, avec une histoire différente. Il n’y a pas de solution miracle, ça se saurait.
Tout de même, on peut trouver des pistes de réflexions qui vont au final, nous aider faire les bons choix et aborder les choses de la bonne façon, dans l’intérêt de nos enfants.
Au travers de ma propre expérience, je vous propose déjà quelques pistes.
Note : cet article a été écrit par Jennifer, auteure du blog Astuces bienveillantes. C’est elle qui s’exprime à travers le Je.
Jennifer a découvert la parentalité positive lorsque sa fille avait 9 mois. Comme elle avait du mal à trouver les infos dont elle avait besoin elle a expérimenté par elle-même. Aujourd’hui elle a décidé de se lancer et de créer son blog et sa chaîne YouTube pour partager son expérience sur l’éducation bienveillante.
Il y a quelques mois, les grands- parents de ma fille m’ont fait part de leur désir de passer quelques heures seuls avec elle, chez eux. L’occasion rêvée pour aborder le sujet de l’éducation bienveillante avec eux.
Ce fut un moment merveilleux. Quelle joie de découvrir qu’ils adhéraient totalement à cette méthode, qu’ils avaient déjà fait des recherches sur le sujet et qu’ils étaient vraiment ravis que leur petite fille soit élevée de façon si équilibrée et respectueuse de son développement. Ils m’ont même avouer que si ils avaient connus cette méthode pour moi, ils n’auraient pas hésité…
Mon père s’est levé pour me serrer dans ses bras, et là, je me suis réveillée.
Je me disais aussi, c’était trop beau pour être vrai.
La réalité a été toute autre.
Papi et mamie 1 habitent loin. Lorsqu’ils viennent passer quelques jours à la maison, ils sont très respectueux de notre mode d’éducation et très admiratifs du développement de leur petite fille (je sais pas si c’est parce que c’est leur petite fille mais c’est très touchant).
Ils ne nous jugent pas et même nous encouragent à continuer. Un vrai régal.
Malheureusement, ils ne viennent que très rarement (c’est peut-être cela aussi qui fait que ça se passe bien…).
Lorsque j’ai fais part à mamie 2 (qui habite à quelques kilomètres) de mes découvertes sur la bienveillance, elle a tout de suite adhéré. Elle a trouvé le principe génial.
Je n’ai pas hésité à lui en parler car elle est ouverte d’esprit.
Voyant les progrès, le calme et l’autonomie de sa petite fille, (bref, les effets de la bienveillance), elle m’a dit regretter de ne pas avoir fait ça pour nous, ses 4 enfants. Elle n’avait jamais entendu parlé de la bienveillance avant.
On pourrait croire que je suis encore en plein rêve… mais non, je vous le raconte comme ça s’est passé. Alors pourquoi où est le mais?
Oui, il y a un mais: elle a énormément de mal à mettre en pratique. En théorie tout va bien mais alors en pratique, c’est pas la même. Elle a un langage fleurit du Sud, elle crie souvent, elle échappe régulièrement des « fais pas ci, fais pas ça », etc. Rien de dramatique non plus. Elle arrive à peu près à se maîtriser devant ma fille mais elle hausse tout de même facilement le ton.
Ca me fait beaucoup rire car ma fille la rappelle à l’ordre aussitôt en hurlant plus fort qu’elle.
Mais ce qui est sûr, c’est que mamie 2 fait beaucoup d’efforts pour être bienveillante au moins avec sa petite fille et je trouve déjà ça beau.
Et puis sincèrement, il faut avouer que mettre en pratique la bienveillance est tout sauf facile.
Là, c’est une toute autre histoire. Papi 2 habite à quelques kilomètres ce qui complique les choses.
Il m’a fallut 18 mois avant de lui en parler après avoir longuement hésité.
A un moment donné, il m’a semblé ne plus avoir le choix car il insistait pour que je lui laisse ma fille un après-midi.
Je le connais fermé d’esprit, très à cheval sur les principes et vraiment pas bienveillant.
J’ai hésité à lui parler de l’éducation bienveillante car il me disait régulièrement: « quand les gosses veulent pas comprendre qu’il faut pas toucher, tu mets une bonne claque sur la main. J’te dis qu’ils y reviennent pas deux fois » ou « tu l’allaite encore??? Tu m’étonnes qu’elle est tout le temps après toi » ou encore « mais laisse-la pleurer, quand elle en aura marre elle s’arrêtera », etc… Bref, vous voyez le tableau.
J’ai quand même fini par me décider à lui parler de la bienveillance car j’espérais qu’il comprenne et accepte de jouer le jeu pour sa petite fille. Comme on dit, « l’espoir fait vivre »…
Je me suis jeté à l’eau et lui ai simplement présenté en disant: « tu as déjà entendu parlé de l’éducation bienveillante? ».
Sa réponse a été sans surprise: « C’est quoi ces conneries encore? ». Je lui ai demandé de me laisser au moins lui expliquer rapidement: « Attends avant de dire ça que je t’explique. Il n’y a pas de violences, pas de punitions et… ». Là il me coupe: « C’est bon! Tes conneries de hippie là ça suffit! J’ai passé l’âge de toutes ces conneries. C’est pas à mon âge que je vais changer ».
J’en suis donc resté là, et blessée, je suis partie. J’ai essayé de couper les ponts mais il revient toujours à la charge par téléphone ou par courrier (des courriers très blessants d’ailleurs).
C’est une situation très difficile à gérer et très complexe.
Je comprends qu’il souhaite voir sa petite fille, c’est tout à fait normal. Mais il est hors de question que je lui laisse dans ces conditions. Et c’est ce qui le met hors de lui, que je ne laisse pas ma fille seule avec lui.
Je dois avouer qu’aujourd’hui je n’ai pas trouvé de solution à part l’éviter.
1) Si vous choisissez de laisser une place à vos parents dans l’éducation de vos enfants, il est impératif de leur parler de vos choix éducatifs. C’est très important déjà pour les enfants (pour garder une cohérence) mais aussi pour vous car vous serez plus à l’aise. Même s’ils ont du mal à comprendre. Si ils sont un minimum ouvert à l’idée, la discussion est possible et cela est un grand soulagement.
Par contre, au moment d’aller leur parler, je conseille de bien vous « armer » :
Vous avez passez le pas et parlé à vos parents. Deux possibilités se présentent:
Si au cas contraire vous ne souhaitez pas laisser vos parents se mêler de l’éducation de vos enfants, la question ne se pose pas, vous n’en parlez pas.
Réfléchissez bien tout de même aux raisons qui vous poussent à mettre à l’écart les grands-parents.
Mettre à l’écart ne veut pas forcément dire non plus couper les ponts. Vous pouvez aller leur rendre visite occasionnellement 1 heure ou 2 avec les enfants.
Vous seuls (la maman et le papa) êtes jugent de la meilleure façon de procéder avec les grands-parents. Comme je disais au début, chaque personne est différente et vous seul connaissez suffisamment vos parents pour savoir quelle est la meilleure attitude à adopter.
Parfois les grands-parents, même s’ils appliquent une éducation traditionnelle, sont bienveillants avec leurs petits enfants. Il n’est peut-être alors pas nécessaire d’aborder le sujet du choix éducatif pour éviter des discussions finalement inutiles.
Les grands-parents peuvent apporter beaucoup à leurs petits enfants, il ne faut pas non plus le perdre de vue.
Dans tous les cas, choisir de parler de nos choix éducatifs présente effectivement un risque.
Le risque de dégrader les relations entre parents et grands-parents si ces derniers n’arrivent pas à accepter votre choix. Parce qu’ils vont faire des réflexions, remettre en question vos méthodes, tout devient prétexte à juger. C’est difficile à vivre. On en vient vite à se dire qu’il aurait mieux valut ne pas aborder le sujet.
Ce qui peut vous aider à prendre votre décision, c’est votre ou vos enfants.
Car finalement, si vous vous posez toutes ces questions, c’est parce que vous cherchez ce qui est le mieux pour eux, tout en conservant de bonnes relations dans la famille. Car ce sont eux la priorité.
Jennifer, Astuces bienveillantes
Merci pour cet article qui met un peu les pieds dans le plat… mais omet malheureusement une réalité : le changement du droit en faveur des grands-parents depuis quelques années. La « mise à l’écart », même quand les grands-parents sont franchement toxiques, est désormais punie par la loi… et certains grands-parents peuvent ainsi faire du chantage – je connais personnellement le cas. Tout grand-parent a le droit de visite à ses petits-enfants, et selon le cas il peut même demander davantage. Je comprends l’esprit de la loi mais dans certains cas cela peut être dramatique… Bref, c’est compliqué lorsque la bienveillance n’est pas déjà présente à l’étage du dessus…
Es-ce vraiment une bonne solution?
Je viens de prendre connaissance de ce texte et je suis très étonné,il y a des incohérences que je voudrai rectifier.Papi 2,c’est moi.
Pendant plus de un an nous avions la visite de Jennifer et de sa fille régulièrement(nous;ma femme et moi) mais il était impossible de la prendre,c’était des hurlements.Puis,la petite est devenu sociable et nous avons demandé de nous la laisser une demie journée.ça a été dur pour jennifer mais elle a accepté.Nous avons passé un moment merveilleux avec cette gamine,lui faire ramasser des fleurs de pissenlit pour les donner à notre ane,nous avons bien ri avec elle pendant le repas,etc.Puis,ce qui devait etre une demi journée c’est transformé en 2 heure 30.Le problème de Jennifer,c’est quelle ne peut pas ce passer de sa fille,et tout les prétextes sont bons pour que sa fille reste avec elle.De ce fait je n’ai pas vu ma petite fille depuis janvier.Le problème aussi,c’est que Jennifer ne vit pas comme nous,mais cela,je le respecte,je le lui ai dit et écrit .je ne soulèverai pas non plus quelques mensonges qui sont dans ce texte.Il est évident qu’il y a là une forme d’égoisme de la part deJennifer mais c’est un comportement regrettable.Personnellement,mes grands-parents me manquent,et ils m’ont beaucoup apporté.La vie pourrait etre si simple
Bonjour Papi2,
Je suis très heureuse de te trouver ici 🙂
Cet article est un exemple de grands-parents « types ». Il n’est pas écrit dans le but d’exposer ma vie privée ni celle de mon entourage. Il est vrai que je m’inspire de mon vécu mais je souhaite seulement proposer des pistes de réflexions aux parents pour trouver un équilibre au sein de la famille. Et je suis entièrement d’accord que les grands-parents ont un rôle important à jouer, comme je le dis dans l’article.
J’espère que nous arriverons à nous comprendre et à communiquer autrement que par internet 🙂
Bisous
Bonjour,
Cet article est très pertinent. Malheureusement,nous sommes bien souvent proches du cas 3 des grands-parents qui vous expliquent régulièrement, et ce dès la naissance de vos enfants, que vous n’avez rien compris, et qu’ils » ont quand même élevés trois enfants ». C’est d’ailleurs pendant la présence des grands-parents que j’avais tendance à ne plus être bienveillante avec mes enfants, taraudée par des émotions contradictoires. Comme nous habitons loin et que nous ne nous voyons pas très souvent, cela a renforcé l’image négative que les grands-parents avaient de nous, et augmenté les reproches de ne pas les voir assez souvent.
Maintenant, nos enfants sont des ados, nous avons pu développer avec eux une relation d’écoute. Je les engage malgré tout à l’empathie envers leurs grands-parents, car leur comportement est souvent dû au fait qu’il n’ont pas pu panser leurs propres blessures, et qu’ils avaient tendance à tout mélanger. Pas facile, mais nécessaire.
J’aurais à l’époque aimé avoir le courage de leur expliquer calmement ma vision de l’éducation sans me sentir agressée.
Merci Carole pour ce commentaire. Il résume totalement les difficultés relationnelles que l’on peut rencontrer avec les grands-parents. C’est vrai que nous passons dans ce cas par des émotions contradictoires qui peuvent encore plus nous compliquer la vie.
Bonjour,
Je suis maman d’un garçon de 1 an et d’une fillette de 2,5 ans. Mes parents (qui habite à 2 h de la maison) ont beaucoup de mal à ce faire à l’idée d’une éducation alternative : ne pas donner de « tapettes » sur les fesses c’est tous juste accepté, mais alors si on ne punis pas, si on ne crie pas : « ça va mettre la zizanie dans la famille » : les enfants doivent être sage, ne pas pleurer, manger à table tout leur repas sans se lever et dormir la nuit entière sans se réveiller (même si ils font des cauchemars…. « c’est des caprices »!!). Ma mère n’accepte pas ce choix, Elle veut m’obliger à donner une éducation comme celle que j’ai reçue. Je lui est proposer de lire des articles venu d’internet, mais internet « il y a tout et surtout n’importe quoi »….c’est vrai que super Nany c’est beaucoup mieux ! (c’est bien connu qu’à la télé il ne passe que des choses vraies !) Je suis un peu dans l’impasse car je comptais lui laisser mes enfants en vacances, leur laisser une vraie place de grands-parents. Le pire c’est qu’elle est à moitié déprimé à cause de ça (il y a d’autres facteurs qui participent aussi à cet état) et du coup elle est complètement en panique car elle a peur « de ne plus voir ses petits-enfants ». Ça fait 15 jours que le clash a eu lieu, pour l’instant on s’est dit de ne plus parler du sujet, mais je ne sais vraiment pas quelle attitude avoir à l’avenir ? On avait l’habitude de passer la nuit chez eux, comment réagir aujourd’hui ?? si quelqu’un peut m’aider, merci d’avance.
Bonjour Fleurjaune,
Merci pour ton témoignage. Ça me fait mal au ventre de te lire car je connais trop bien ce genre de situation.
Déjà, personne ne peut t’obliger à rien vis à vis de tes enfants. Je sais, rien que ça c’est impossible à faire comprendre à ta maman. Pourtant, c’est ce qui doit motiver tes décisions, tes enfants d’abord. Tu es la maman et c’est toi qui décide. Toi seule sait ce qui est bon pour eux.
Ensuite, je ne suis pas sûre que ne pas en parler soit la solution, mais il faut essayer d’en discuter avec bienveillance… pas facile.
Autre point très important, comment se comporte-t-elle avec tes enfants?
Cette situation est difficile car en fait, tout le monde se sent mal (y compris ta maman) alors que ça pourrait être si simple.
Malheureusement, je n’ai pas de solution miracle, sinon je ne serai pas dans la même situation que toi. Il faudrait arriver à faire comprendre à ta maman ta vision de l’éducation. Je ne sais pas comment car je ne la connais pas. Peut-être que des personnes de votre entourage pourraient te soutenir dans cette démarche?
Je te souhaite bon courage et j’espère sincèrement que tu vas réussir à débloquer la situation pour que tout le monde soit apaisé et heureux de passer du temps ensemble.
Bonjour et merci d’écrire sur ce sujet si passionnant des relations avec les grand-parents. Nous nous sommes évidemment posés les mêmes questions. De mon côté, quand je vois l’enthousiasme des enfants à l’annonce de la visite de leurs grand-parents, je n’ai pas envie de couper les ponts. J’ai remarqué que parler d’éducation avec eux n’a pas vraiment d’intérêt car ça peut être interprété comme remettre en cause l’éducation qu’ils ont eu avec nous. Ils ne sont pas prêts à ça et ce n’est pas l’objectif. En nous voyant agir avec les enfants, les grands-parents comprennent très vite le mode d’éducation bienveillante que nous adoptons et plus nous sommes à l’aise, convaincu et ancrés dans ce mode d’éducation, moins, ils critiquent. Chez nous, ils nous disent « nous on sait pas faire, je ne sais pas comment vous vous débrouillez mais bravo ». De façon concrète, je peux laisser mes enfants aux grands-parents, si tout le monde est d’accord (grands-parents, parents et enfants). Si une seule des personnes ne se sent pas prête, je trouverai une autre solution. Nous nous verrons lors de temps passés tous ensemble. Dans ces moments là les grands-parents nous voient agir et bien souvent, ils deviennent, à notre contact, naturellement plus bienveillant. Mes articles suivants peuvent vous intéresser,
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Bonne journée
Merci Alexandra pour ce témoignage.
Finalement, les grands-parents restent ouverts d’esprit. Il est clair qu’il n’y a pas l’air d’avoir besoin de parler de tout ça avec eux. Ils voient juste leur petits enfants épanouis et c’est tout ce qui compte pour eux. Vous pourriez appliquer n’importe quelle méthode, ce serai pareil pour eux. Ils voient juste que ce que vous faites pour vos enfants est super, alors ils y viennent naturellement. C’est génial pour toute la famille comme relation. Félicitation, vous avez des grands-parents en or.
Très bel article qui résume bien les relations familiales ! Chaque parent est unique et c’est important de parler de choix éducatifs avec eux afin qu’il aillent dans notre sens ! Je me retrouve dans ce que vous écrivez car dès la naissance de mon fils je me suis dit que je ne voulais pas de violence ni de punition, ni d’humiliation. Mais de l’écoute, parler et expliquer, une éducations douce ne veut pas dire qu’il n’y a pas de limite !
Je suis tout à fait d’accord, chaque parent est unique et c’est aussi ce qui fait la richesse d’une éducation pour l’enfant. Les grands-parents peuvent apporter tellement à leurs petits enfants lorsque tout se passe bien (et à leurs enfants aussi d’ailleurs).
Et c’est vrai que c’est tellement plus simple et reposant de communiquer plutôt que de lutter…
Merci émilie MC.